Les pays acheteurs seraient ainsi prêts à prendre à leur charge 3,5 milliards d'euros de coûts supplémentaires, selon DPA (l'agence de presse allemande) : environ 2 milliards d'euros de différentes contributions et 1,5 milliards d'euros de prêts. Ce qui rapproche les Etats de la demande de l'industriel qui demandait 5,2 milliards d'euros de financement supplémentaires.
La possibilité serait également donnée aux pays qui veulent un prix d'appareil moins cher de ne pas prendre toutes les options techniques prévues au départ. Il faut maintenant qu'EADS accepte cette offre et que les parlements l'approuvent également (le Bundestag, en particulier, ardent défenseur de la rigueur budgétaire).
(1) Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Turquie, Belgique, Luxembourg
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