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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 23:12

Aaviksoo-Mindef-Estonien.jpgL'Estonie devrait rejoindre l'opération anti-piraterie EUNAVFOR Atalanta de façon plus opérationnelle, a annoncé le ministre de la Défense estonien Jaak Aaviksoo, aujourd'hui à Luxembourg.

Une équipe de protection embarquée d'une douzaine de militaires de la marine devrait être intégrée dans un navire allemand d'ici la fin de l'année. Les négociations ont commencé. 

A noter que l'Estonie a déjà une participation dans les Etats-Majors de l'opération.

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 08:24

Le navire de ravitaillement français BCR Somme qui fait partie de l'opération européenne de lutte anti-piraterie EUNAVFOR Atalanta et est également a été attaqué par des pirates dans la nuit du 19 au 20 avril. Une méprise singulière... qui n'est pas la première. C'est la seconde fois que le BCR - qui est également le navire de commandement de l'Alindien (1) - est attaqué. La première fois, c'était en octobre 2009. Il était alors sous pavillon national. L'opération s'était alors soldée par l'arrestation de 5 pirates puis leur condamnation, dans la foulée, par les tribunaux du Puntland (région autonome de Somalie) à 5 ans de prison. Selon mes comptes, c'est la neuvième attaque de pirates contre un batiment militaire en un an (11 si on compte les deux navires Maersk affrêtés par la marine US). Cela fait beaucoup...

ArrestPiratesBCRSOmme2@FR100420Selon ce qu'en relatent les militaires, les marins du Somme ont répliqué par des tirs de semonce à l'attaque. Les pirates ont alors pris la fuite, chaque embarcation prenant une voie séparée. L'équipage du Somme s'est lancé à leur poursuite. Il est d'abord tombé, rapidement (en moins d'une heure) sur un mother ship, qui a été intercepté, avec 2 suspects à bord avec matériel de piraterie (échelles, munitions...). Puis un skiff a été retrouvé quelques heures plus tard et intercepté avec 4 autres suspects. Les 6 pirates ont été placés à bord du BCR Somme et le bateau-mère détruit.ArrestPiratesBCRSOmme4-FR100420.jpg

(crédit photo : ministère FR de la Défense / DICOD)

(1) L'Alindien est toujours en mer actuellement

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 08:16

Carlskrona-in-Djibouti-4.JPGLe contre-amiral suédois, Jan Thörnqvist (1), a pris le relais de son homologue italien, Giovanni Gumiero, dans l'Océan indien pour commander la force européenne anti-piraterie (CTF-465). Lors de sa prise de fonction il a insisté sur l'aspect humanitaire de la mission.  “Operation Atalanta is, and will continue to be, a very important operation, foremost from a humanitarian perspective. Our military effort will therefore contribute to generate relief for those who suffer in Somalia and security for seafarers sailing the waters off Somalia”, a-t-il expliqué.

En tout cas, son prédecesseur Gumiero a eu fort à faire et impulsé à l'opération une attitude plus offensive. Même s'il s'est heurté à un problème politique et juridique. Le Kenya refusant d'accueillir davantage de suspects arrêtés par les forces multinationales (2).

A signaler parmi les Etats qui participent à l'opération (Allemagne, France, Espagne, Suède...), un nouveau-venu : la première participation opérationnelle du Portugal qui a décidé d'envoyer dans l'opération européenne, un avion de patrouille maritime, P3 Orion, avec son équipage et ses mécaniciens. Jusqu'ici le Portugal ne participait qu'aux opérations de l'OTAN. La Norvège, pays non membre de l'UE (3), a décidé de réitérer sa participation. Et ce sera la première implication de deux autres pays tiers : le Montenegro (4) et l'Ukraine (5).

(1) Le FHQ suédois en ordre de bataille

(2) La traduction en justice des pirates fléchit. Dernier bilan

(3)  Pourquoi la Norvège participe à Atalanta ? -

(4) La participation du Montenegro à Atalanta acceptée par l'UE

(5) Le COPS accepte la participation ukranienne à EUNAVFOR Atalanta

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 22:54

JamesMichel-Sey100410.jpgLa nécessité de trouver des pays d'accueil devient cruciale pour les forces multinationales et, au premier rang, pour l'Union européenne. Après le Kenya, qui n'accueille plus de suspects pirates sur son territoire, voici que les Seychelles menacent de faire de même.

Le président de la petite république de l'Océan indien, James Michel, vient d'exprimer publiquement et clairement son courroux face au manque de soutien de la communauté internationale. C'était le 10 avril en recevant les gardes-côtes du Topaz pour les féliciter de leur action offensive pour libérer des otages et appréhender les pirates (1).

« Je vais être franc avec vous. Je ne suis pas satisfait du niveau de l’aide que nous recevons actuellement dans le cadre de la lutte contre la piraterie. Proportionnellement, nous mettons plus d’effort et de ressources dans la lutte contre ce fléau. » a-t-il expliqué.

« Notre garde-côte, en dépit de ses moyens et ressources limités, patrouille l’océan Indien. Nous avons augmenté la capacité d’accueil de nos prisons en vue de détenir un certain nombre de pirates somaliens, même si ce n’est pas idéal de le faire. (...) Tout récemment, nous avons passé une nouvelle législation qui nous permet entre autres, de poursuivre les pirates. (...) Nous ne pouvons pas faire davantage. Même le Kenya tout récemment, a refusé d’accepter plus de pirates dans ses prisons » a-t-il ajouté.

Des moyens, des moyens ! Et d'enfoncer le clou, au cas où certains ne l'auraient pas compris. « Les messages de félicitations et les mots d’encouragements sont bien, mais ils ne suffisent pas !  Le soutien moral en lui-même ne nous fera pas gagner la guerre contre les pirates. Nous avons besoin davantage d’aide, de formation, de ressources et de moyens logistiques. C’est cela mon appel à la communauté internationale aujourd’hui, aux puissances maritimes surtout. Elles doivent être plus solidaires. Nous participons à cette lutte avec elles. Renforçons ce partenariat. Je leur demande surtout de mettre plus de ressources et de moyens à notre disposition. »

Commentaire : L'Union européenne a promis 800.000 euros pour les Seychelles. Mais il est un fait - sur lequel appuie le président seychellois, c'est qu'effectivement, les nations maritimes, les principaux armateurs ne contribuent que peu à la lutte contre la piraterie.

(1) Course poursuite dans l'Océan. Le Topaz libère 27 otages

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 14:55

pirates.jpgLe nombre de suspects ou pirates appréhendés, depuis le début des opérations multinationales dans l'Océan indien (avril 2008 mais surtout novembre 2008), se rapproche de la barre fatidique des 1.000 personnes (et encore si on ne prend pas en compte les bateaux non poursuivis).

Lire le bilan détaillé (réalisé en exclusivité par "Bruxelles2" avec différentes sources remises à jour régulièrement)

Sur ce nombre, près de la moitié ont été remis à la justice (certains libérés ensuite sur ordre du juge). Mais on ne peut que constater, ces dernières semaines, une chute notable du taux de traduction en justice. Celle-ci repassant pour les opérations multinationales (EUNAVFOR, CTF) sous la barre des 50% (à comparer au taux de 6 sur 10, voire 8 sur 10 traduits en justice). Les forces de l'OTAN restent à un taux traditionnellement bas (1 ou 2 sur 10). En revanche, on peut constater, également, une plus grande efficacité des forces locales (Seychelles, Kenya, Puntland, Yemen) qui est, en soi, une bonne chose.

Cette chute est due à un double phénomène : augmentation du nombre d'arrestations (près de 300 depuis début mars) mais manque de places dans les pays d'accueil. Le refus persistant du Kenya d'accueillir de nouveaux suspects de piraterie (il en accueille déjà plus de 100) trouve, ici, son illustration. Et si la signature d'un accord avec les Seychelles a offert de nouvelles possibilités d'accueil, et évité une chute encore plus grande du taux de traduction en justice, le nombre limité et les conditions strictes (1) empêche d'en faire une solution de long terme. Les Seychelles, en quelques arrestations, arrivent d'ailleurs à saturation de leur capacité. 

D'où l'intérêt de trouver d'autres solutions. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Westerwelle a évoqué ce sujet, avec son homologue tanzanien, la semaine dernière. Et différents contacts diplomatiques sont en cours, à différents niveaux, avec les pays de la région pour trouver d'autres solutions alternatives (2). Sinon l'alternative est connue : soit libérer les prisonniers, comme l'ont fait la plupart des navires de guerre ces dernières semaines (3) - ; soit livrer à des tribunaux "hors d'accord internationaux", comme le fait la France avec le Puntland (4) - soit, dernière extrémité, auxquels répugnent la plupart des Etats européens, rapatrier les suspects en Europe, l'Allemagne vient de le faire pour la première fois (5).

NB : ce bilan, réalisé par mes soins, doit être pris avec réserve. Car la plupart des forces, notamment multinationales, répugnent à mentionner quand des suspects sont libérés. Et plus encore quand les tribunaux libèrent "leurs" suspects après un premier examen. Il est parfois ainsi difficile de "tracer" les suspects arrêtés par les uns, remis par les autres, traduits par les derniers, quand il n'y a pas un "réaiguillage" en cours de route (6). J'ajuste donc ces chiffres régulièrement.

(1) Transfert des pirates aux Seychelles, les conditions et modalités

(2) Ashton autorisée à négocier avec 5 pays pour le transfert des pirates

(3) Pour un exemple : 2 nouveaux groupes pirates neutralisés. Pirates libérés

(4) Livrer les pirates ou les libérer ? Puntland ou pas Puntland

(5)  Dix pirates transférés en Allemagne via Djibouti et les Pays-Bas

(6) Les 6 pirates du Torre Giulia réexpédiés au Puntland

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 23:22

TrompPiratesTaipan-Nl100405.jpgLes dix pirates arrêtés, en flagrant délit le 5 avril, par la frégate néerlandaise Hr Ms Tromp (F-803) - membre de la force européenne anti-piraterie EUNAVFOR Atalanta - vont être transférés en Allemagne. Ils avaient été arrêtés au terme d'une action éclair cisant à reprendre le contrôle du navire marchand le MV Taipan, battant pavillon allemand (lire : Les Marines du Tromp passent à l'action). Ils transiteront via Djibouti et les Pays-Bas, où ils seront accompagnés par des hommes de la Maréchaussée royale néerlandaise, a précisé le ministre de la Défense néerlandais. Le tribunal de Hambourg, compétent pour les affaires maritimes, a émis un mandat d'arrêt européen transmis au procureur d'Amsterdam.

C'est la première fois que des pirates seront jugés en Allemagne ; jusqu'à présent Berlin se refusait à cette hypothèse, préférant confier les suspects au Kenya... ou les libérer. En l'espèce, il n'y avait pas vraiment d'autre alternative.

(crédit photo : ministère NL de la défense - Le MV Taipan au moment de l'intervention par l'hélicoptère du Tromp le 5 avri)

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 10:09

ActionPiratesMarinTrompHelico-Nl100405.jpgLa décision de "muscler" l'opération anti-piraterie de l'Union européenne EUNAVFOR Atalanta est désormais applicable. Et les marins de la frégate néerlandaise Hr Ms Tromp en ont fait la démonstration ce lundi, avant de rentrer au pays, en reprenant le contrôle d'un navire marchand, capturé par les pirates. Récit...

Le porte-container battant pavillon allemand, le MV Taipan, est en route de Mombasa (Kenya) vers Djibouti quand il est attaqué par des pirates. Les marins tentent bien d'esquiver l'attaque, les pirates sont déjà à bord. Conformément aux instructions, ils ont cependant le temps de stopper et désactiver toutes les machines, puis se retranchent, au fond du navire dans une pièce sécurisée fermée de l'intérieur, et donnent l'alerte.

La frégate néerlandaise Tromp reçoit l'alerte à 9h45 locales, et file, rapidement, sur les lieux. Un premier survol de l'hélicoptère de bord Lynx permet de confirmer que les pirates sont bien à bord, les deux skiffs remorqués à l'arrière du Taipan. Sur place, les Néerlandais tentent d'obtenir la reddition des pirates, par radio VHF et megaphone. Sans succès. Un tir de semonce est effectué. Ceux-ci refusent toujours obtempérer. L'assaut est décidé avec le triple feu vert de Northwood (QG d'Atalanta), de la Haye (forces néerlandaises) et de Berlin (Etat du pavillon). La Haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Cathy Ashton, est simplement tenue informée. Pour aller plus vite, et faire plus simple, le Tromp est, en effet, repassé sous pavillon national. Les Marines sont alors hélitreuillés sur le Taipan. Le Tromp comme l'hélicoptère maintiennent les tirs (pour occuper les pirates). Sans faire de blessés apparemment.

Les "Marines" reprennent le contrôle du navire. Sans trop de dégâts : un des marines est cependant blessé, légèrement selon La Haye, lors de l'action. L'équipage de 13 personnes (2 Allemands, 3 Russes et 8 Sri Lankais) * est retrouvé sain et sauf. Les 10 pirates auteurs du forfait sont arrêtés et transférés sur le Tromp. Malgré quelques dégâts sur le pont, causé lors de l'assaut, le navire marchand a pu poursuivre sa route.

* 15 personnes selon les forces néerlandaises.

(les Marines néerlandais atterissent sur le pont du Taipan - crédit photo : marine néerlandaise)

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 19:11

Le navire néerlandais Hr. Ms. Tromp a arrêté et désarmé, vendredi, un nouveau groupe de 12 pirates suspects, annonce le ministère néerlandais de la défense. Les pirates, à bord de 2 skiffs et d'un bateau mère, ont été repérés par les militaires à 16 miles nautiques du navire. L'hélicoptère de bord Lynx est allé au repérage et a pu observer des échelles à bord - équipement type des pirates. Les bateaux pneumatiques du Tromp avec à leur bord des Marines ont pris alors la direction des skiffs. Et les ont stoppé. Peu après ce fut au tour du bateau-mère. ArrestPiratesSkiffs-Nl100302.jpg

RHIB près des skiffs - Crédit : ministerie van Defensie

 

Les Marinesont découvert  que les suspects avaient balancé par-dessus bord tout ce qui pouvait servir de preuve d'un futur acte de piraterie. Conformément aux procédures, faute de flagrant délit (et de pays d'accueil pour accueillir des suspects sans preuve patente), les pirates ont été libérés, avec assez de nourriture et de caburant pour rejoindre la côte somalienne. Et les deux autres bateaux détruits.

ArrestPiratesDestruc-Nl100302.jpgDestruction des skiffs par le Tromp - Crédit : ministerie van Defensie 

Selon le bilan dressé par le ministère de la Défense néerlandais, les navires participant à l'opération Eunavfor Atalanta ont désarmé dans les dernières semaines, 14 groupes pirates (143 pirates) en tout, le néerlandais Hr. Ms Tromp participant pour la moitié dans ce bilan avec 73 pirates désarmés (sur ce nombre aucun n'a cependant été traduit en justice).

Le Hs Ms Tromp rentre maintenant vers les Pays-Bas et sera remplacé dans l'Océan Indien par le Hr Ms Johan de Witt, un des deux navires amphibies de la marine néerlandaise et le plus important (avec son sister ship, le Hr Ms Rotterdam). Servi par un équipage d'environ 140 marins, il peut abriter un bataillon d'infanterie de marine et du transport de matériel. Il est doté d'un hôpital et peut déployer jusqu'à six hélicoptères.

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 23:50

UssNicholasDrapeau-US091203.jpgLe navire américain USS Nicholas (FFG 47) a capturé 5 pirates suspects, jeudi 1er avril, au large des Seychelles a annoncé le commandement américain pour l'Afrique (Africom). Des échanges de tirs ont eu lieu avant l'arrestation.

C'est à l'ouest des Seychelles, dans les eaux internationales que l'USS Nicholas a rapporté, vers 0h30 locales, des coups de feu d'un skiff suspect, les militaires américains répliquèrent et commencèrent la poursuite jusqu'à que le skiff stoppe. A 2h00, rapporte le QG d'Africom, l'équipe d'abordage de la frégate anti-missiles mit la main sur trois hommes, ainsi que des munitions et du fuel. Tout le monde fut rapatrié sur le navire. Le skiff fut coulé à 3h00.Un deuxième bateau (le bateau-mère) de pirates avec 2 suspects à bord fut aussi capturé et le bateau-mère confisqué.

Les 5 suspects ont été placés à bord du Nicholas pour interroatoire et déterminer la suite à donner. L'USS Nicholas fait partie de la 6e flotte US et est une des composantes de la force navale de soutien à AFRICOM.

(crédit : U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class John Suits/Released))

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 10:23
Entre les pirates et les gardes-côtes des Seychelles, la tension monte. Après avoir récupéré des otages et arrêté des pirates hier (lire ici), le Topaz a été attaqué cette nuit (vers 4 heures du matin locales). Un bateau mère et 2 skiffs pirates ont ouvert le feu sur le Topaz alors que celui-ci se trouvait dans la Zone économique exclusive, sur le chemin de Mahé. Les gardes-côts ont riposté. Un des skiffs a coulé et le bateau-mère a explosé et pris, le troisième skiff s'est enfui. Le Topaz a poursuivi sa route vers Port Victoria, annonce le corps des gardes-côtes estimant « que la priorité était de retourner avec les otages sains et saufs et ne pas risquer la vie des civils à bord par la chasse vers le troisième skiff. Le sort des pirates sur les trois navires n'est pas connu » est-il encore précisé. Ce qui me semble être une entorse à l'obligation de la sauvegarde de la vie en mer.
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logo_ouestfrancefr.pngL'éditeur : Nicolas Gros-Verheyde. Journaliste, correspondant "Affaires européennes" du premier quotidien régional français Ouest-France après avoir été celui de France-Soir. Spécialiste "défense-sécurité". Quelques détails bios et sources.