Les neuf pirates, entendus lundi par vidéoconférence par le juge italien, ont expliqué qu'ils "avaient été forcés" d'attaquer et de saisir le navire marchand par des commanditaires dont l'identité n'est pas révélée. Selon eux, des inconnus menaçaient de s'en prendre à leur famille s'ils ne s'exécutaient pas. Le choix de l'abordage du Maria K a été fait un peu au hasard. "C'est le premier bateau que nous avons vus". D'après leur avocat, commis d'office, Francesca Baldassarra, les prisonniers étaient "sereins" et "satisfaits de leur traitement à bord".
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