C'est, en effet, une des tâches majeures de l'AMISOM que d'assister à la mise en place d'un plan de stabilisation et de sécurité nationale en Somalie. L'AMISOM a d'ailleurs déjà entraîné des troupes, avec la France et Djibouti - rappelle la lettre, en fournissant dans une caserne militaire de quoi recevoir un soutien nécessaire en nourriture, services sociaux et formation. Ce type de services devrait être fourni aux futures recrues "dans l'objectif d'assurer leur subsistance et éviter de les perdre dans des clans de milices et des extremistes".
Un accord cadre. L'Union africaine propose ainsi d'avoir un accord cadre entre les deux institutions "pour définir les rôles et responsabilités de chaque entité, durant et après l'entraîenement". Une équipe pourrait ainsi être mise en place pour mettre au point un projet d'accord, prenant en considération la planification européenne.