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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 17:00
En complément à mon post sur les prisons de la CIA en Pologne, signalons aussi cet article d'opinion de Rafael Barbosa publié dans le Jornal de Noticias (lire ici) qui rappelle la participation de certains responsables politiques européens de premier plan, comme le britannique Tony Blair ou l'espagnol José-Manuel Aznar, et du portugais José-Manuel Barroso. Si les deux premiers sont aujourd'hui retirés de la vie politique, ce dernier est toujours en exercice, au titre de président de la Commission européenne. Et notre confrère portugais de s'interroger (légitimement semble-t-il). Ces dirigeants ont été "complices". "Ce dernier (Barroso) est le seul à disposer encore de responsabilités politiques. Est-il raisonnable que cela continue ainsi ?" s'interroge-t-il.
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 16:30
La contribution de certains Etats européens à la politique de détention secrète de la CIA de prisonniers durant la guerre d'Afghanistan semble de plus en plus perceptible et prouvée. Après les révélations du New York Review et du Washington post, citant un rapport du CICR montrant que les prisonniers détenus par la CIA ont bien été victimes de torture (*) - et la confirmation de la nouvelle administration Obama de tels procédés -, une enquête fouillée du quotidien polonais Rzeczpospolita (lire ici) et de la chaîne TVP INFO, vient rappeler que ces faits n'ont pas épargné l'Europe, la Pologne en particulier. Documents à l'appui, nos confrères montrent ainsi qu'une base secrète de la CIA aurait bien fonctionné, durant plusieurs mois, en 2003, sur le site de l’ancien aéroport militaire de Szymany (au nord de Varsovie, en Mazurie). De février à septembre 2003, des avions Boeing 737 et Gulfstream appartenant à des sociétés privées (LLC, Weather, Steven express...), qui volaient pour le compte de la CIA, y auraient atterri (voir document ci-dessous).

Liste des vols "privés" de la Cia © Rzeczpospolita / TVP info

Les documents confidentiels consultés par les journalistes révèlent bien des anomalies. Ainsi ces vols sont indiqués comme destination Varsovie alors qu'ils avaient comme destination Szymany. Bien qu'opérés par une compagnie privée, ils sont notés sur les registres d'Eurocontrol et les cahiers de bord des aéroports comme avions gouvernementaux. Le traitement des vols est fait comme pour les avions militaires ; il n'existe aucune donnée permettant d'identifier les passagers transportés, comme l'indication de leur passeport. Etc. (télécharger la liste de vols - Eurocontrol ou voir le détail du descriptif des vols). Autres révélations de nos confrères : Un témoin oculaire aurait vu des prisonniers en menottes sortir d’un avion. Et, dans ce cadre, une quinzaine d’officiers des renseignements polonais auraient travaillé pour la CIA au Proche-Orient.

Quatre pays européens concernés. La carte reconstituée par nos confrères polonais montre que les vols partis de Kaboul ou Tachkent ont concerné quatre pays européens : la Pologne (Varsovie - Szymany), la république Tchèque (Prague), le Royaume-Uni (Glasgow) et le Portugal (Porto) pour destination Washington, Mentionnons également (qui ne figure pas sur la carte) des escales sur la base américaine de Francfort (Allemagne).

Carte des vols "privés" de la Cia © Rzeczpospolita / TVP info

Enquêtes brouillées. Une enquête du procureur général d’Etat a été diligentée en 2008 (les précédentes tentatives d'enquête avaient été stoppées. Elle se heurte au secret d'Etat. Certains journalistes estiment en effet qu'il faudrait traduire en justice les responsables politiques de l'époque (ex-communistes) qui ont collaboré avec les autorités américaines, notamment les Premier ministre et Président de la république, Leszek Miller et Aleksander Kwasniewski. Leur enquête prouve, en effet, que le gouvernement (ministre de la défense particulièrement) était tenu informé de certains vols.

(*) les
méthodes de la CIA - privation de sommeil, simulation de mort par étouffement, coups au visage... - sont assimilables, selon ce rapport, à l'usage de la torture interdite. Pour être exact, c'est Marc Danner qui a obtenu une copie de ce rapport et en a révélé le contenu dans New York Review. Télécharger le rapport du CICR
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 12:00
Alors qu'un nouveau traité de non prolifération (TNP) est en gestation - la conférence chargée d'examiner le TNP se tiendra à NewYork en avril-mai 2010 et une dernière réunion préparatoire a lieu du 4 au 15 mai 2009 - le Parlement européen devrait débattre (jeudi 23) et voter (vendredi 24), à Strasbourg, une résolution pour soutenir un processus de désarmement aussi ambitieux que possible (télécharger le projet de rapport ici).

Période cruciale. Le moment est important car le processus de limitation des armes nucléaires engagé en 1970 avec l'entrée en vigueur du Traité TNP s'est enrayé au fil des années. Pour la rapporteure Angelika Beer (Die Grüne), "L'absence de progrès des États dotés de l'arme nucléaire en ce qui concerne le respect de leurs obligations en matière de désarmement nucléaire hypothèque le traité et si ce problème n'est pas réglé comme il convient, certains États pourraient se retirer du traité et se doter d'un potentiel nucléaire." Mais l'espoir de relancer un nouveau processus n'est pas mince. Un nouveau contexte favorable existe avec la rédaction par un groupe de juristes, porté par le Costa Rica d'un projet de convention, ambitieuse, et la nouvelle donne internationale portée par une nouvelle administration américaine, moins défavorable au désarmement nucléaire que la précédente. Ainsi, souligne-t-on au Parlement européen, "il existe de bonnes chances qu'un vaste programme de désarmement nucléaire soit favorablement accueilli par le comité préparatoire TNP de 2009 et adopté lors de la conférence d'examen du TNP qui se tiendra en 2010".

Le délitement du Traité TNP par les nouveaux Etats nucléaires. Depuis l'entrée en vigueur du traité (TNP), l'Inde, Israël et le Pakistan ne l'ont pas signé ni ratifié et se sont dotés d'armes nucléaires, explique une note du Parlement européen. L'Inde et le Pakistan font valoir que le TNP est discriminatoire en ce sens qu'il interdit à tous les États parties, hormis le groupe P5 (la Chine, la France, la Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis), de posséder des armes nucléaires et qu'il exige de leur part, à l'exception du P5, qu'ils acceptent des garanties en ce qui concerne leurs installations nucléaires. La Corée du Nord avait ratifié le traité mais a annoncé son retrait en 2003. L'Iran construit actuellement des installations d'enrichissement de l'uranium qui lui permettraient de disposer d'un armement nucléaire dans le cas où le gouvernement de ce pays déciderait de se retirer du TNP et dénonceraient les garanties actuelles qui ont été établies pour ces installations nucléaires. Plusieurs de ces pays (l'Inde, le Pakistan et la Corée du Nord) sont favorables à un programme global et non discriminatoire d'élimination des armes nucléaires par la voie d'une convention sur les armes nucléaires.

Le projet ambitieux de nouvelle Convention. Ce nouveau traité international serait plus ambitieux que les précédents. Il interdirait la mise au point, l'essai, la fabrication, le stockage, le transfert, l'emploi ou la menace d'emploi d'armes nucléaires et assurerait leur élimination. Dans sa forme, il serait similaire aux conventions en vigueur qui interdisent d'autres catégories d'armes, comme les armes biologiques, les armes chimiques, les mines antipersonnel et les armes à sous-munitions. Il obligerait les pays dotés d'armes nucléaires à les éliminer par étapes successives : levée de l'état d'alerte, retrait des armes déployées, retrait des ogives nucléaires de leurs vecteurs, neutralisation des ogives par le retrait des charges et placement des matières fissiles sous contrôle des Nations unies. Cette convention interdirait non seulement les armes nucléaires, mais aussi la production de matières fissiles pouvant être utilisées pour fabriquer les armes nucléaires, à savoir l'uranium fortement enrichi et le plutonium séparé.

Point clé du dispositif, une agence de contrôle. Point fondamental du dispositif, cette convention établirait une agence chargée de veiller au respect des dispositions du traité par les États parties. L'agence recevrait des rapports sur les progrès accomplis par les États dotés d'armes nucléaires, inspecterait les installations nucléaires, recueillerait des informations grâce à des photographies par satellite et à la télédétection et surveillerait la production et le transfert de matières pouvant être utilisées dans la fabrication d'armes nucléaires.
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 11:30
La libération par la marine néerlandaise de neuf pirates somaliens, qu'elle avait fait prisonniers samedi, fait couler un peu d'encre aux Pays-Bas. Les ministres de la Défense, Van Middelkoop, et de la Justice, Hirsch Ballin, devraient venir s'expliquer à la Deuxième Chambre, mardi à la demande de plusieurs partis politiques néerlandais.

Position officielle. Les deux ministres concernés ont adressé une lettre à la chambre des députés dans lesquels ils ont justifié cette position : "A l’exception des cas dans lesquels un intérêt néerlandais est clairement en cause, des poursuites et une détention aux Pays-Bas ne semblent pas la solution la plus évidente".
Quant au porte-parole du ministère de la Défense, il a expliqué que "la décision avait été prise par le commandant de l’opération de l’OTAN et que l’officier de justice néerlandais l’avait approuvée".

Arrestation - libération. Samedi après-midi, le navire "Hr. Ms. De Zeven Provinciën" en patrouille pour le compte de l'OTAN a pris en chasse une équipe de pirates à bord d'un skiff, après l'attaque (déjouée) du pétrolier battant pavillon des Iles Marshall, d'un armateur grec, le "Handytankers Magic". Les deux équipes de commandos marine à bord de RHIB (bateaux à coque rigide Zodiac) ont découvert un dhow avec environ 25 personnes à bord. Neuf d'entre eux ont été arrêtés comme pirates suspects, selon la marine néerlandaise (et non 7 comme annoncé ailleurs). Les autres étaient des pêcheurs yéménites (environ 16) pris en otages dont le bateau avait été détourné jeudi dernier. Les armes - 7 fusils-mitrailleurs AK-47 et un lance-roquettes - ont été saisies et détruites (NB : ce qui a comme conséquence également de détruire des preuves à charge).

Commentaire. Cette décision confirme ma précédente analyse illustrant que les opérations successives de l'OTAN ont un gros défaut (sur l'opération de l'UE) : ne pas avoir de couverture juridique et, donc, ne pouvoir donc transférer les prisonniers sur un pays tiers. Dans ce type d'opération (de police internationale), le volet juridictionnel est tout aussi important que le volet militaire.
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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 16:36
Le Japon se veut décidement engagé dans l'opération internationale de lutte anti-piraterie au large de la Somalie. Après avoir envoyé deux destroyers, le Sazanomi (voir photo) et le Samidare - dotés chacun de deux hélicoptères et d'environ 200 hommes d'équipage -, les forces d'auto-défense vont s'adjoindre deux avions de patrouille maritime P-3C Orion, qui devraient être à pied d'oeuvre d'ici le mois de mai. Ce qui répond à une préoccupation exprimée par plusieurs responsables de l'opération, soulignant que pour mieux assurer la sécurité sur la zone, ce sont essentiellement les avions qui sont nécessaires (lire "manque d'effectifs aériens).
 

L'équipage du Sazanomi au grand complet, lors de la présentation aux autorités djiboutiennes © NGV


Ces appareils devraient être basés à l'aéroport militaire de Djibouti aux cotés des avions espagnol (P3 Orion) et français (Bréguet Atlantic 2) - déjà engagés l'un dans l'opération Eunavfor Atalanta, l'autre au titre de la présence des forces françaises et (occasionnellement) d'Eunavfor. Environ 150 hommes y seront affectés pour assurer la permanence opérationnelle et la maintenance des avions de patrouille. Le ministre japonais de la Défense, Yasukazu Hamada, se défend de tout engagement au-delà des limites constitutionnelles du pays - qui reste astreint à une certaine neutralisation de ses forces. Il s'agit - souligne-t-il - de "faire de notre mieux pour fournir une protection aux navires liés à notre pays contre la piraterie". Les forces japonaises disposent d'environ 110 avions de ce type, construits sous licence dans les usines nippones de Kawasaki.

Signalons également qu'un (ou plusieurs) accord(s) technique(s), pour la fourniture de prestations de ravitaillement, pourrait être signé entre le Japon et certains Etats européens (comme l'Allemagne notamment pour l'approvisionnement en eau).
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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 16:30
J'ai remis à jour le bilan des pirates - en affinant mon système de décompte. Selon ce dernier bilan, depuis le début des opérations internationales de lutte contre la piraterie, près de 202 personnes ont été arrêtées par les navires de guerre, croisant le Golfe d'Aden et au large de la Somalie et du Kenya, dont certaines en flagrant délit (attaque) ou sur de fortes suspicions (visite à bord et découverte d'armes de guerre). Sur ce nombre, 159 ont été traduites en justice, le plus souvent des pays riverains (Yémen, Puntland-Somalie, Kenya) - sauf 21 personnes rapatriées en France, Pays-Bas et aux Usa.
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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 15:15
Martin Bartak (ODS) pourrait occuper le poste de Ministre de la Défense dans le futur gouvernement "technique transitoire", tchèque constitué entre les socio-démocrates (CSSD) et les chrétiens-démocrates (ODS). Un remaniement rendu nécessaire après le vote de la motion de censure contre le gouvernement Topolanek. Actuellement au poste de secrétaire d'Etat à la défense, c'est le candidat le plus souvent cité pour remplacer la ministre actuelle Vlasta Parkanova (dont le départ semble acquis, son parti ne participant pas au nouveau gouvernement transitoire).
Né le 14 février 1967, neurochirurgien de profession (exerçant à l'hôpital
"Na Homolce" de Prague), Martin Bartak est le spécialiste des questions de défense et de sécurité de l'ODS. Il a notamment été le conseiller du vice-président de l'ODS, Petr Necas (2002-2006). Le nouveau ministre aura comme tâche de présider la réunion des Ministres de la Défense de l'UE, le 18 mai ; la république Tchèque continuant, vaille que vaille, malgré ses difficultés internes, de présider l'UE jusqu'au 30 juin 2009.
 

(Mise à jour) Pour les Affaires étrangères, les socio-démocrates ont proposé Jan Kohout. Un diplomate très expérimenté, fin connaisseur des affaires européennes. Membre du CSSD, membre de la Convention européenne, Kohout a été le premier ambassadeur tchèque auprès de l'UE de mai 2004 à 2008. Il avait refusé la charge de Premier ministre en 2005, et est aujourd'hui un des adjoint de Schwarzenberg (actuel ministre des Affaires étrangères, démissionné), vice ministre chargé de la coopération et de l'aide humanitaire.

Aux Affaires européennes, c'est l'actuel ambassadeur auprès de l'OTAN, Stefan Füle, qui est pressenti pour succéder à Vladimir Vondra. Diplômé de philosophie de l'université de Prague, il a suivi les cours de l'Institut des relations internationales de Moscou de 1981 à 1986 (à la "belle époque" soviétique). Sa carrière de diplomate, il l'a essentiellement commencé, à l'ONU à New York puis au département "Nations-Unies" du ministère des Affaires étrangères. Il a servi ensuite comme ambassadeur en Lituanie (1998-2001), a été ensuite premier vice-ministre de la Défense (dans le gouvernement social démocrate, 2001-2002) puis ambassadeur à Londres, avant d'atterir à l'OTAN (2005-2009) où il est devenu un fervent défenseur de la politique suivie par son gouvernement concernant l'implantation d'un radar US dans le cadre du bouclier anti-missiles, alors que son parti y était opposé. Beau tour de force...

(photos : Ministère CS de la Défense, Ministère CS des affaires étrangères, Otan)
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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 18:07
Technique intéressante employée par les Suédois pour convoyer les navires de guerre au large de la Somalie. Plutôt que de voguer sur l'eau - comme les autres navires - c'est le portage par bateau qui est utilisé. Les deux corvettes HMS Stockholm et HMSMalmö ainsi que le navire de soutien HMS Trossö - qui vont servir pour l'opération EUNAVFOR Atalanta à partir de la mi-mai - ont ainsi été transportés jusque dans le Golfe d'Aden.

Avantages de cette technique : économiser un peu de pétrole, mais surtout le temps des hommes. Ceux-ci, pendant le temps, peuvent soit se reposer (entre deux missions), soit s'entraîner. Pour cela, on a réalisé une sorte d'auto-dock flottant. Une tâche complexe, réalisée à la base navale logistique en Suède : les navires n'ont pas, en effet, le même tirant d'eau.

(photo : marine suédoise)
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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 16:00
La république tchèque pourrait acquérir 4 avions Casa C-295 M du constructeur européen EADS pour remplacer ses vieux avions de transport Antonov An26. La ministre de la Défense tchèque, Vlasta Parkanova, a soumis ce projet pour approbation au gouvernement (démissionnaire). Les avions devraient être livrés entre 2009 et 2011. L'objectif, est selon le porte-parole du ministère de la Défense, Andrei Cirtek, de renforcer l'autonomie aérienne lors de missions humanitaires ou d'évacuations de citoyens étrangers et la capacité d'action des unités tchèques en opération à l'étranger.

Un achat qui démontre aussi - outre les raisons financières - que les Tchèques ont un certain "pragmatisme européen", dans leurs achats et équipements militaires, sans doute largement plus affirmé que ne le laissent supposer leur option politique, qu'on peut qualifier de "très atlantiste".

Selon EADS, en effet, le
C-295 peut assumer un grand nombre de missions assignées aux avions de transport plus lourds comme le C-130 Hercules, pour un coût très inférieur (un gain de plus d’un tiers par heure de vol selon le constructeur). Depuis le début de sa commercialisation en 2001, 66 unités ont été vendues - selon EADS - à neuf opérateurs basés en Espagne, en Pologne, en Jordanie, en Algérie, au Brésil, au Portugal, en Finlande et au Chili. 44 sont déjà opérationnels. Plutôt que le C-130, son vrai concurrent est d'ailleurs le C27J du consortium americano-italien Lockeed - Alenia. Un C-295 en service dans l'armée polonaise s'était écrasé, en janvier 2008, à l'atterrissage sur l'aéroport de Miroslawiec (nord-ouest de la Pologne), faisant 20 morts.

(mise à jour) A noter que le concurrent Alenia, évincé, qui voit ainsi lui échapper un contrat d'environ 1 million de couronnes tchèques pourrait porter plainte à Bruxelles auprès de l'autorité de concurrence. La signature du contrat quelques jours avant le départ de la Ministre est en effet critiquée dans certains milieux à Prague.

(photo : EADS)
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10 avril 2009 5 10 /04 /avril /2009 17:48
Quelques jours d'absence.

Je pars à la pêche...

a bientot
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